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  • : Le blog de cafe-racer.bmw.r100s.over-blog.org
  • : transformation d'une bmw r100s de 1980 en un café racer
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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 20:57

 

salut a tous!! des fous!! ils sont malade! quand on dit, un flat ça démarre tout le temps!!  il fait - 20° !!!!!!!!!!!!

 

 

(cliquez sur la vidéo, vous serez transféré sur you tube)

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 16:01

 

vous allez pas croire!! matez moi ça! 

A votre avis, le moulin, il va tenir longtemps??? 

 

 

 

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 14:44

 

 

 

j'ai trouvé aussi un lien pas mal pour les pieces: link

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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 21:20

un ami m'a fait remarqué que je ne parlai pas de la france et de nos préparateurs, comme Martin, Rocca, japauto, pas facile de trouver de la doc.. j'ai quand même trouvé un p'tit truc:

 

George MARTIN

1970 ! ... Après avoir doucement laissé mourir une à une l'ensemble ses marques motocyclistes emblématiques seule Motobècane survit encore à l'époque, la France découvre avec délice le plaisir de rouler sur des motos fiables, aseptisé qui démarrent à la première sollicitation. Le phénomène japonais est amorcé et l'Europe industrielle à l'origine de ce merveilleux moyen de locomotion, vient une fois de plus de laisser échapper sa chance.

Tout n'est cependant pas parfait au pays des café racer et celui qui aime la conduite des motos sportives est loin d'y trouver son compte. Seuls des accessoiristes sont en mesure de transformer le cheval de trait en pur-sang, à grand renfort de jantes à bâtons, frein avant, double disques, guidons bracelets, ensemble selle réservoir racing ext..... La réalisation n'est du reste, pas toujours du plus bel effet esthétique.

Un vendéen, Georges Martin, s'en est très vite rendu compte. Passionné de motos sportives et possesseur de belles machines anglaises, il fabrique déjà artisanalement des carénages, des réservoirs ; , des selles en polyester qui permettront aux propriétaires de japonaises de relooker l'objet de leurs rêves et se croire au guidon d'une machine de Grand Prix. La fabrication des accessoires lui a déjà valu une belle réputation dans les milieux branchés.

Cependant, il ne lui échappe pas que les productions nippones du marché, a une faille énorme : le cadre dont la rigidité est souvent défaillante et gage d'une tenue de route aléatoire.

Fin technicien, excellent dessinateur, Georges Martin va se mettre à la planche à dessin. Il construira la moto de ses rêves et la commercialisera ; c'est décidé.

Le cadre ! ...Il a déjà son idée : compact, bas, rigide, esthétique (chromé) soudure impeccable, il sera conçu autour d'une poutre maîtresse.

Le moteur ! ...Un ensemble mécanique le fascine, il s'agit de celui de la CB 750 Honda, 4 cylindres, puissant, du couple, une sonorité du diable, facile à préparer.

L'esthétique ! ...Habiller une moto n'a plus de secret pour lui, il donnera donc à sa belle les plus beaux atours avec tous les soins d'un grand couturier.

D'autre part, la notoriété des moteurs disponibles sur le marché, assurera au Martin de multiples versions et développements. KAWASAKI, YAMAHA, SUZUKI, BMW, DUCATI, prendront place dans lé-célèbre cadre chromé. Par ailleurs, Martin ajoute à sa gamme de nombreux accessoires, dont les fameux échappements 3enl pour 2 temps adaptables sur les Kawa et Suzuki Trois cylindres ainsi qu'une grande variété de 4enl pour divers multi-cylindres 4 temps du marché.

Cependant Georges Martin comprit vite vers les années 1984-1985, que l'arrivée des sportives réplicas déclinées par les grandes marques, allait sonner le glas des artisans. Après avoir fabriqué 5800 partie-cycle il opéra donc rapidement sa reconversion vers l'automobile et la réalisation de répliques réputées de Lotus Seven, Cobra, et Ford GT 40. Mais ceci est une autre histoire.

Aujourd'hui les motos Martin font toujours rêver et trente ans après, nombreuses sont celles en excellent état de marche qui roulent de Paris à Los Angeles, Amoureusement entretenues, elles continuent à apporter beaucoup de satisfactions à leurs utilisateurs.

Le motos martin club of world a vu le jour et contribue à enrichir le patrimoine de la marque française, sportive-de l'après guerre qui n'a pas fini, du reste, d'en étonner plus d'un, car il ne serait pas impossible de revoir de nouveau Martin sur les routes. Nous en reparlerons, peut- être d'ici peu car l'histoire de Martin est loin d'être close.

 

Honda_CBX_hoppe01.jpg


750 gse de 1978 en coque Rocca

2068814652.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J'ai enfin trouvé de la doc sur Japauto (j'en connais un qui va être content!!!)


1970
1ère apparition d'une Japauto à l'occasion du Bol d'or . Dur test pendant 24h pour ce moteur réalésé au maximum qui prouva sa fiabilité : la moto fut classée 20ème malgré une chute . 

japauto std

1972

Réservoir Japauto polyester 2 bouchons 23 litres, plus dosseret avec coffre rappelant la Japauto victorieuse de bol 72. Etude d'un prototype à cadre poutre baptisé "la panthére" (photo de droite). Robert Assante essayant la Japauto 950SS sur le prospectus a gauche.

doc_evo72.jpgPrototype.jpg 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1973

Nouveau bloc cylindre JPX (plus gros) , même cylindrée mais pistons différents . 
Appellation intermédiaire: 950SS II  et nouvelle appellation en fin d'année: 1000VX , nouveaux carters allumage/alternateur . 
Carénage type Bol 73 avec oscars Cibié .

  1974
Exportation en Espagne . Les modifications apportées plus la main d'œuvre représentant plus de 60% du prix de la machine autorisaient son importation en Espagne comme moto française (l'Espagne étant fermée à l'époque aux motos japonaises) .

1975
Une Japauto 1000VX type Bol d'or en 75 est vendue 31700 Frs , passage aux mines compris !
(carte grise 9CV type CB750 modifiée Japauto ) .

 

 1976/78
Les Japauto étaient construites sur base de CB750 K6 . Les derniers modèles F1 et F2 (même base moteur mais avec échappement 4/1 d'origine et frein à disque arrière) n'ont pas eu , à ma connaissance , l'autorisation de Honda France pour la transformation (CG Honda modifiée Japauto) .Certains propriétaires pouvaient évidemment monter le kit 1000VX sur ces machines et les passer aux mines afin d'être en conformité . Leur carte grise était donc modifiée et le nouveau type devenait donc "CB750 Mod" et la puissance passait à 9 cv . Le modèle F2 imposait quelques modifications car le bloc JPX n'était pas compatible avec la nouvelle culasse . En effet , l'huile redescend par 4 conduits (passage des goujons) au lieu de 8 , donc le bloc JPX se retrouve avec 4 passages à l'air libre provocant d'inévitables fuites à haut régime.

doc_evo75a.jpg71k10.jpg

 

 

 

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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 20:13
bon je préfére un bon flat racer, mais je trouve sympa ce bobber allemand!!!

 
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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 20:13

Vous devez vous dire! c'est quoi ce mec qui fait du copier/coller!!! en même temps si je fait pas ça, je les trouve ou les infos?? ah, on fait moins les malins..... bon, je rigole..... j'ai trouvé ça aussi!

 


 

Café pour tout le monde

Les café racers ou pour les puristes cafe racer semblent fasciner beaucoup de monde, nous aussi bien sur !

Nous devions donc avoir une rubrique sur le site. Si vous faîtes une recherche sous Google, peu de sites donnent des informations détaillées sur l'historique des café-racers. Nous allons essayer ici d'apporter notre goutte d'eau ... 

Bertrand à le courage de commencer, merci à lui.

         Le webmestre.

 


CAFE RACER

Améliorer sa moto, la rendre plus belle, originale et performante a toujours été une préoccupation chez les motards.

 

Depuis le début de la moto, divers courants se sont dessinés: customs et hot rods américains, motos et sides "pullman" avec chauffage et radio, et, ce qui nous intéresse ici, les motos de course.  Je devrais dire "coursifiées", puisque les motos à moteur spécifiquement course ne sont plus homologuées.

 


La dernière en date est la Seeley Condor.  


Par ailleurs, ces motos étaient construites à peu d'exemplaires et vendues très chères, ce qui explique l'échec de la Seeley, et des Honda Dream auparavant.

 

L'idée de génie est venue d' Angleterre. En effet, les courses de club sur une foule de circuits, permettaient de courir avec des motos dérivées de la série jusqu'à 750cc en solo, et 1000cc en side. Chose inexistante en France.

Dans ce pays où la limitation de vitesse a été instaurée très tôt, et où les bistrots sont fermés dans la journée, tous les motards inscrits à un club vont donc tâter du "short circuit", courses de quatre tours, qui se succèdent sans temps mort, d'éliminatoire en éliminatoire, de  8 heures du matin jusque... à l'ouverture des pubs!

 

 

Une moto de tous les jours améliorée à cet effet, faisait l'affaire, ce qui a entraîné une floraison d'accessoires "course adaptables". Une autre idée de génie des anglais, a été la possibilité légale de construire des bitzas regroupant des éléments de plusieurs marques. Cela permettait, à assez peu de frais, non seulement pour qui avait explosé son moteur, d'en trouver un plus fiable, ou même, de choisir dans la production anglaise ce qui lui semblait le plus performant.

Le plus célèbre de ces bitzas est certainement la Triton : tenue de route Norton et fiabilité Triumph. Mais on peut citer les Tribsa, Norbsa, Norbstar, Norvin, Trifield etc…

Il va sans dire que le soir, au pub, les conversations allaient bon train pour vanter les mérites de tel ou tel montage! 

Les constructeurs eux mêmes, fournissaient des versions sportives destinées aux clubmen: Velocette Truxton veeline, BSA DBD34GS, Norton 650 manxman etc… 

Par ailleurs, les championnats "Sénior Unlimited" et production étaient le fief des préparateurs constructeurs professionnels, qui n'hésitaient pas à vendre au public les accessoires et kits moteurs qui faisaient leurs preuves en course.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Tout, depuis le cadre spécial jusqu'aux freins, au kit Westlake 8 soupapes, à la boite Quaife 6 vitesses, tout pouvait être monté en toute légalité sur une moto de série.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 


Il faut rappeler qu'en France, on ne peut pas modifier les trains roulants ni le freinage, par exemple.

C'est pourquoi Gus Kuhn, Dunstall, Rickman vendaient des motos "toutes faites" homologuées pour la France, avec lesquelles on pouvait courir, bien évidement.


Dunstall 810


 



Gus Kuhn  . Les Dunstall et le Gus Kuhn vendues par ces sociétés portent sur leur carte grise le nom du préparateur à la place de Norton. C'est d'ailleurs ce qui différencie une vraie Gus Kuhn, par exemple, d'une Norton ré-équipée.




Seeley construite et préparée par Gus Kuhn

 

 

Triton à moteur Trident, construite par Dresda




Une Norton production-racer

La production racer de René Guili, championne de la montagne 1975

 

Rickman

C'est Jacques Roca qui a construit cette moto. Travaillant chez Bonet, l'inportateur Suzuki, Jacques roulait sur tout ce qui pouvait ressembler à une moto: du 50 Derbi à la 750 Suzuki. L'essai de la Rickman est là:http://perso.wanadoo.fr/bertrand.clausse/rickman_2.htm

Pas sectaire, nous mettons même des moteurs japonais !! (webmestre)

 




Rickman 



Les premiers rassemblements de motards à Paris se faisaient,

dans les années 60, à la brasserie Le Bouquet, non loin du départ de la nationale 20.

On buvait le coup en admirant les motos, on papotait Triton, Ducati, mégaphone,

puis les racers partaient,

par groupes d'affinités, direction la vallée de Chevreuse,

histoire de frotter un peu les pots et de prouver que sa moto

marche aussi bien qu'on a dit: "le dernier arrivé à Dampierre paie la tournée!"

Les roule toujours, ceux qu'on appelle les cul d'acier,

qui ne goûtent pas le même humour que nous,

les ont appelé péjorativement "café racers".

G50

Seeley XI



Base Ducati



Dresda 500

Boyer D

Mead et Tomkinson



Il ne faut pas oublier les autres productions à base de mécaniques anglaises:

les très belles Egli , les Ital-jet, les Indian Velocette ou Enfield ,

les françaises Zerchot et PEM.

Egli Vincent


Egli Vincent

 

Egli Enfield





Venons en France, justement!

Ces belles motos performantes faisaient évidement rêver, et,

faute de pouvoir courir le dimanche,

c'est sur la route, en l'absence de limitation de vitesse, que l'on s'exprimait.

Les belles motos étant faites pour être admirées,

quel meilleur endroit qu'une terrasse de bistrot ?

Mon histoire s'arrête là, mais celle des café racers est loin d'être terminée.

Internet fournit une mine inépuisable de photos,

les équipementiers existent toujours,

la revue Café Racer a un beau papier glacé, la SR mania fait des ravages au japon.

Giacomo Agostini partant retrouver des copains au bistro

Je suis sûr que les conversations sont les mêmes qu'il y a 30 ans!

J' ai une crainte: quand je vois le prix des refabrications de freins Fontana ou Oldani, parties cycles Rickman etc…

Ne vous laissez pas débaucher par le pognon! Gardez le "savoir faire avec des restes" Tout est une question de goût. Préférez les bourses d'échange au magasin du coin. N'hésitez pas à questionner les vieux motocistes qui gardent souvent des pièces racing obsolètes au grenier!

Nos motos sont une affaire de débrouille, de copains et d'entraide. Pourvu que ça dure !               

 

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 18:46

Le terme café racer est toujours utilisé pour décrire les motos et motards d’un certain style. Un café racer est une moto qui a été modifiée pour la vitesse et la maniabilité au détriment du confort.

Aujourd’hui digne de la mention « culture café racer », le terme « Café Racer » existe depuis les années 1950 en référence aux motos utilisées pour les courses anglaises allant d’un café à un autre café ; mais le terme prend aujourd’hui une nouvelle ampleur en regroupant tous les amateurs de motos japonaise, italienne, anglaise allant des années 1950, jusqu’à la fin des années 1970. Le mouvement se distingue ainsi des motards ayant choisis une Harley ou une japonaise moderne.

Ces motard ne suivent pas la mode et la musique du mouvement initial des « Rockers », anciens ou nouveaux, mais s’habillent dans un style plus moderne et confortable avec quelques aspects rappelant les « Rockers ». Jeans, veste de moto en cuir noir ou marron, bottes ou chaussures, casque aux normes ; les café racer modernes se distinguent ainsi du mouvement de base qui allait jusqu’à dicter les marques à porter ou non. Ils empruntent leurs références aux Greaser américains , au rock britannique et au motard moderne, pour créer un style unique à part entière.

L’alcool affectant la conduite, et étant dangereux lorsqu’il est associé à tout sport mécanique ; cela explique le choix des Café Racer, qui préféraient s’arrêter pour boire un café plutôt qu’une boisson alcoolisée. Cet aspect oppose radicalement les Café Racer aux Choppers américains, l’alcool étant plutôt accepté dans la culture et l’imaginaire culturel des choppers.

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 07:24

Salut a tous, pour le moment je laisse mon flat comme ça, je posterais de nouvelles photos aux prochaines modif, donc maintenant je vais parler de quoi? hein? je vous le demande!! ba c'est évident non,  de café racer! Alors voila ce que j'ai trouvé sur la toile:

Les deux significations prennent leurs racines dans la contreculture britannique des années 1960, dans des groupes tels que the Rockers ou the Ton Up Club, bien que ce mouvement apparaisse aussi bien en Italie, parmi des fabricants de moto italiens et d'autres pays européens. Les Rockers étaient une contreculture du Rock"n"roll, jeune et indocile, qui a voulu une moto rapide, personnalisée et originale pour voyager de café en café le long des autoroutes nouvellement construites en Angleterre et autour des villes britanniques.

Le but de la plupart d’entre eux était d'être capable d'atteindre 100 milles par heure (soit environ 160km/h, également appelé « the ton ») le long d'un itinéraire où le motard partirait d'un café, roulant jusqu’à un point prédéterminé et revenant en arrière au café de départ avant qu'une chanson ne puisse être jouée sur le juke-box. Ce type de course est également appelé « record-race » . Ces motards ont été associés à la musique Rockabilly et leur image reste aujourd’hui attachée à cette même culture.

Ce mouvement est né dès lors que les motards ont rejeté les motos orientées pour le transport en enlevant toutes les parties inutiles selon eux. Les motos avaient une apparence brute, déshabillée et utilitariste tandis que les moteurs étaient préparés pour atteindre leur puissance maximale.

Parce que la vitesse primait sur le confort, les motos recevaient des selles monoplace et des guidons bas et droits, montés directement sur la fourche, pour un contrôle plus précis mais aussi pour échapper au vent. La moitié ou parfois la totalité des carénages et les réservoirs, faits-main, d'aluminium, étaient fréquemment laissés non peints.

Ces motos étaient fines, légères et maniables. Les machines qui définissent le mieux cette catégorie sont sans doute celles qui mélangent les Norton et les Triumph (aussi appelée « Triton »). Elles utilisaient le moteur le plus commun et le plus rapide combiné avec le meilleur cadre de son époque, le cadre Norton Featherbed et le moteur de la Bonneville. Ceux qui avaient moins d'argent pouvaient opter pour un "Tribsa" - moteur de Triumph dans un cadre de BSA.

Le café racer a beaucoup en commun avec la scène Chopper ou Bobber aux Etat-uni et tous deux ont leurs racines avec des vétérans de la seconde guerre mondiale. Tandis que les GIs américains prenaient des motos militaires Harley Davidson et coupaient tout ce qu’ils jugeaient inutile pour améliorer les performances, les vétérans européens prirent des mesures semblables avec leurs motos.

Tous cherchaient à rendre les motos standard d'usine plus rapides et plus légères, bien que seuls les Européens aient cherché à les rendre plus maniables et rapides. Le facteur distinctif était la différence de nature entre les routes américaines et le réseau routier européen, les Américains favorisant un modèle lourd et bas taillé pour le confort linéaire, les Européens préférant une moto plus haute, et plus maniable, adaptée aux routes sinueuses d’Europe.

On doit rappeler que le style café racer s’est construit dans une Europe pauvre, en pleine reconstruction d’après-guerre, et non dans le style « customisation » américain.

Les Café Racers ont été également appelés  " street fighters" en référence aux avions des vétérans de la seconde guerre mondiale.

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 20:21

P1060720 J'installe le jus a l'arrière et a l'avant, je change aussi le commodo de gauche, je pose les 4 cligno et c'est bon! tout fonctionne.

 

P1070038Et pour finir, j'ai repeint le réservoir et le cul de selle!

un coup d'apprêt et de la peinture noir mat a la bombe... je sais c'est pas terrible, mais en attendent mieux! c'est toujours mieux que rien.

 

Et voila de résultatP1070037-copie-1.JPGP1070039

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 15:07

Du son, du son.... désolé, la qualité est pas top! mais ça donne une idée du bordel qu'elles font!!

 

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